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Le
washi se décline suivant différentes fabrications,
par exemple : le Yoshinoshi, plus
mince qu'un mouchoir de papier, le Hooshoshi,
utilisé pour l'écriture, le Fusumashi,
nécessaire à la fabrication des portes japonaises,
le Kamiko utilisé pour la
fabrication de vêtements, le Fusuma,
auquel on y ajoute de l'argile au moment de la fabrication
traditionnelle des parapluies japonais.
Yamato Tokorotani - créateur
moderne - a réussi à intégrer le washi
dans la fabrication des chaussures en mettant au point un
procédé breveté de plastification sur
peau "pleine fleur", l'endermisation. Cette innovation
permet au washi d'être protégé, et de
se décliner comme élément décoratif
pour de nombreux accessoires de mode tels que chaussures,
sacs et bagagerie, bijoux et autres accessoires de mode.
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